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WADA publishes 2015 Anti-Doping Rule Violations Report

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Press Release

This article is written in English with a French translation underneath.

Report illustrates doping offences committed in global sport during 2015

  • 2015 Anti-Doping Rule Violations Report illustrates the first set of Anti-Doping Rule Violation statistics under the revised World Anti-Doping Code

  • Report highlights 1,929 Anti-Doping Rule Violations (ADRVs) in 2015, involving individuals from 122 nationalities and across 85 sports

  • 1,649 ADRVs came from adverse analytical findings; 280 from ‘evidence-based intelligence’ non-analytical findings

  • Of the 280 non-analytical ADRVs, 252 were committed by athletes and 28 by athlete support personnel

3 April 2017 – The World Anti-Doping Agency (WADA) published its third annual Anti-Doping Rule Violations (ADRVs) Report today, which is the first set of Anti-Doping Rule Violation statistics under the revised World Anti-Doping Code (Code). An ADRV is a doping offence committed by an athlete or athlete support person, which results in certain consequences or sanctions.

The Report illustrates doping offences committed in global sport during 2015. It highlights that there was a total of 1,929 ADRVs recorded in 2015, involving individuals from 122 nationalities and across 85 sports. 1,649 of the ADRVs were derived from adverse analytical findings (AAFs), commonly known as ‘positive’ results; these 1,649 ADRVs represented 65% of the total 2,522 AAFs that were reported by WADA-accredited laboratories. The remaining 280 non-analytical ADRVs were issued as a result of evidence-based intelligence; of which, 252 were committed by athletes and 28 by athlete support personnel. This represents an increase in non-analytical ADRVs, and is in line with the anti-doping movement’s increased focus on investigations, intelligence-gathering and whistleblowing.

The 2015 ADRVs Report makes for particularly interesting reading in combination with WADA’s 2015 Testing Figures Report that was published last November,” said WADA President, Sir Craig Reedie. “What is particularly striking about this 2015 ADRVs Report is we are beginning to see the first signs of the impact of the revised Code, in particular a significant increase in intelligence-based anti-doping rule violations, an area of greater focus for the Agency as we strengthen our investigations and intelligence-gathering capacity,” added Reedie. “Whilst testing remains vital to detecting doping, recent events have shown that investigative work is becoming ever more important as we look to protect clean athletes’ rights worldwide.”

Further to our efforts to detect and deter doping, the 2015 ADRVs Report reminds us of the importance that preventative education strategies play in the fight against doping,” said WADA Director General, Olivier Niggli. “Values-based education is one of our core priorities as we engage with athletes to discuss what motivates them to stay clean, why they must not dope and how they can protect themselves against it,” he added.

The ADRVs Report is broken down as follows:

  • The Overview comprises an Introduction and an Executive Summary of the Report and highlights the key data.

  • Sections 1 and 2 present the results management outcomes (including ADRVs) of all AAFs detected by WADA-accredited laboratories for samples collected from athletes in- and out-of-competition and received by the laboratories in 2015. They are presented by sport, discipline (Section 1) and testing authority (Section 2).

  • Section 3 includes ADRVs that resulted from non-analytical findings committed by athletes (presented by sport and nationality) and by athlete support personnel (presented by nationality).

  • Section 4 indicates the total number of ADRVs in 2015, which includes AAFs that resulted in an ADRV plus all non-analytical ADRVs. It presents the data by sport and nationality. It is further broken down into type of samples (urine or blood), type of test (in- or out-of-competition) and athlete gender.

Consult the Full Report, the Overview and Frequently-Asked Questions.

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Why is WADA releasing 2015 ADRV statistics 15 months after the end of the statistics period?
The results management process [for anti-doping cases] can take a long time. This process includes a number of steps, beginning with the observation of a potential analytical or non-analytical violation. This is followed by an Adverse Analytical Finding (AAF) being reported and other steps including investigation, decision, potential appeal and the publication of the decision. A high number of cases must be resolved before the Report can be prepared on the basis of a robust set of data that reflects the year in its entirety. At the time of compiling this ADRVs Report, WADA had received 92% of the decisions relating to 2015 AAFs.


 

L’Agence mondiale antidopage publie le Rapport 2015 sur les violations des règles antidopage

Le Rapport fait état des cas de dopage commis dans le sport mondial en 2015

  • Le Rapport 2015 sur les violations des règles antidopage (VRAD) présente les premières statistiques sur les VRAD commises sous l’empire du Code mondial antidopage révisé.

  • Le rapport signale 1 929 VRAD en 2015, touchant des personnes de 122 nationalités et de 85 sports différents.

  • On dénombre 1 649 VRAD issues de résultats d’analyse anormaux (RAA) et 280 résultant de preuves non-analytiques (renseignements).

  • Sur 280 VRAD non-analytiques, 252 ont été commises par des sportifs et 28 par des membres du personnel d’encadrement du sportif.

le 3 avril 2017 – L’Agence mondiale antidopage (AMA) a publié aujourd’hui son troisième Rapport annuel sur les violations des règles antidopage (VRAD) (en anglais) , qui présente les premières statistiques sur les VRAD commises sous l’empire du Code mondial antidopage (le Code) révisé. On entend par violation des règles antidopage les cas où des sportifs ou des membres du personnel d’encadrement du sportif commettent une infraction au Code et s’exposent ainsi à certaines conséquences ou sanctions.

Le Rapport fait état des cas de dopage commis dans le sport mondial en 2015. Il signale qu’un total de 1 929 VRAD, touchant des personnes de 122 nationalités et de 85 sports différents, ont été enregistrées en 2015. Sur ce total, 1 649 VRAD proviennent de résultats d’analyse anormaux (RAA), aussi appelés
« résultats positifs », ce qui constitue 65 % des 2 522 RAA répertoriés par les laboratoires accrédités par l’AMA. Les 280 VRAD non-analytiques, dont 252 ont été commis par des sportifs et 28 par des membres du personnel d’encadrement du sportif, proviennent de renseignements. Cela représente une augmentation des VRAD non-analytiques et justifie l’attention accrue portée par le mouvement antidopage sur les enquêtes, la collecte de renseignements et les lanceurs d’alerte.

« Il sera particulièrement intéressant de lire le Rapport VRAD 2015 en parallèle avec le Rapport sur les données de contrôles antidopage 2015 de l’AMA, publié en novembre dernier », a déclaré Sir Craig Reedie, président de l’AMA. « Ce qui est particulièrement frappant dans le Rapport VRAD 2015, c’est que nous commençons à percevoir les premiers effets du Code révisé, notamment une augmentation marquée du nombre de VRAD issues de renseignements. L’Agence porte une attention accrue à ce type de VRAD et renforce d’ailleurs ses capacités en matière d’enquêtes et de collecte de renseignements. Les contrôles restent bien sûr essentiels à la détection du dopage, mais les événements récents ont montré que les enquêtes jouent un rôle de plus en plus important dans la protection des droits des sportifs propres dans le monde entier », a-t-il ajouté.

« Outre nos efforts visant à détecter le dopage et à dissuader les sportifs d’y avoir recours, le Rapport VRAD 2015 nous rappelle l’importance des stratégies d’éducation préventive dans la lutte contre le dopage », a affirmé Olivier Niggli, directeur général de l’AMA. « Promouvoir une éducation fondée sur les valeurs est l’une de nos grandes priorités, c’est pourquoi nous sensibilisons les sportifs en discutant de ce qui peut les motiver à rester propres, des raisons pour lesquelles ils doivent éviter le dopage et de la façon de s’en protéger », a-t-il ajouté.

Voici comment se divise le Rapport VRAD:

  • L’aperçu comprend une introduction et un résumé du Rapport, mettant en exergue les informations clés.

  • Les sections 1 et 2 font le bilan de la gestion des résultats (y compris les VRAD) de tous les cas de RAA détectés par les laboratoires accrédités par l’AMA, provenant d’échantillons prélevés sur des sportifs en compétition et hors compétition et reçus par ces laboratoires en 2015. Ces données sont classées par sport et par discipline (section 1), puis par autorité de contrôle (section 2).

  • La section 3 inclut les VRAD issues de preuves non-analytiques commises par les sportifs (données présentées par sport et par nationalité) et par leur personnel d’encadrement (données présentées par nationalité). 

  • La section 4 présente le nombre total de VRAD répertoriées en 2015, qui comprend tant les RAA constituant une violation que les violations non-analytiques ; ces données sont classées par sport et par nationalité et selon le type d’échantillon (urine ou sang), le type de contrôle (en compétition ou hors compétition) et le genre du sportif.


Pour consulter les documents, veuillez télécharger le rapport completl’aperçu et un document de «questions et réponses».

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Pourquoi l’AMA publie-t-elle les statistiques 2015 sur les VRAD quinze mois après la fin de la période statistique ?

Le processus de gestion des résultats (des dossisers antidopage) prend du temps. Ce processus inclut de nombreuses étapes et débute par la constatation d’une violation analytique ou non-analytique potentielle. S’ensuivent le signalement de résultats d’analyse anormaux (RAA) ainsi que d’autres étapes, comprenant les enquêtes, la prise de décision, un appel potentiel et la publication de la décision. Un grand nombre de dossiers a pu être conclu avant la rédaction du présent Rapport, fondé sur des données fiables et représentatives de l’année dans sa globalité. Au moment de compiler les données du Rapport sur les VRAD, l’AMA avait ainsi reçu 92 % des décisions relatives aux RAA de 2015.

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